Ce virus, une aubaine

Pour quelques mises à jour

Qui un peu plus restreignent

Les possibles détours

Sautons sur le prétexte

Pour imposer ce pass

N’ayons pas de complexe

Peu de gens s’en tracassent

Le contrôle des masses

C’est maintenant ou jamais

Osons le mettre en place

Ils sont terrorisés

Brisons les libertés

Un peu plus chaque jour

Le temps d’habituer

Ils seront bientôt pour

La peur a verrouillé

La plupart des esprits

Ils sont agenouillés

Disant même merci

A cette autorité

Qui limite leur vie

Se sentant rassurés

Ils acceptent et se plient

Non, plus d’argent liquide

Qu’on ne peut pas tracer

On veut des poches vides

Et des codes à scanner

Evitons les contacts

Autant que faire se peut

Ils auront moins d’impact

S’ils sont chacun chez eux

Rendez-vous samedi

Pour marcher dans la paix

Rendez-vous samedi

Pour notre liberté

Parce qu’elle n’a pas de prix

Pour notre humanité

Parce qu’à cette tyrannie

Il nous faut résister

Agrandissons la ronde

Des coudes qui se serrent

Pour sauver notre monde

Des lois totalitaires

J’ai confiance en la France

Elle est digne héritière

D’un peuple qui s’avance

Pour lever les barrières

Interdits les traitements

Qui ne rapportent rien

Même si ça fait 30 ans

De preuves sur le terrain

Mieux vaut ce cher vaccin

Qu’on impose sans gêne

Même si on ne sait rien

De c’qu’en feront nos gênes

Le peuple on le sait bien

Prend un peu trop de place

La Terre, c’est certain

Confirme la menace

Alors peu nous importe

Si un jour il s’avère

Que c’était l’antidote

Qui était délétère

A la télévision

Juste de faux débats

On nous met en prison

En nous donnant le choix

De la couleur des murs

Ou la taille des barreaux

Ceux qui voient l’imposture

Sont taxés de complot

Doucement on s’accommode

D’être le Q en L’R

En acceptant des codes

Pour mieux se laisser faire

On est comme des grenouilles

Qui ne sentent pas vraiment

Jusqu’à ce que l’eau bouille

Qu’on les cuit doucement

Refrain

Une poignée de héros

Attaqués violemment

Osant se faire l’écho

D’un regard différent

Des plus viles critiques

Ou jusqu’à la menace

Les armes médiatiques

Freinent bien des audaces

Mettant le feu aux poudres

Des blessures non guéries

Facile de dissoudre

Toute envie de défi

On sait bien que l’égo

Souffre de ses tourments

Le mien transpire à flot

De ces mots militants

J’préfère chanter l’amour

De deux mains qui se tiennent

Plutôt que les tambours

De mains que l’on enchaîne

Je préfère le confort

Du désintéressement

D’habitude j’ignore

Ce qui passe à l’écran

Je préfère la confiance

A toute suspicion

Mais trop d’incohérence

Suscite l’attention

Je préfère le silence

Aux flots des opinions

Mais parfois sa sentence

Egare des wagons

Refrain

C’est une triste histoire

Qu’on peut se raconter

Moi je commence à croire

Qu’elle peut se vérifier

A force de ne voir

Chez ceux qui font la loi

Qu’un abus de pouvoir

Qui ne donne plus le choix

Big Brother n’est pas loin

On le touche du doigt

On n’connait pas la fin

Mais je croise les doigts

Car j’aime aussi à croire

Qu’on est co-créateurs

Dans ce monde illusoire

Où s’immisce la peur

Reprenons le pouvoir

Sur nos vies égarées

En soignant notre part

On change l’humanité

J’espère que cette chanson

Fera rire mes neveux

Et qu’ils s’en moqueront

Quand ils seront plus vieux

Pourvu qu’ils s’en amusent

Ça voudra dire alors

Que ces idées m’abusent

Et qu’elles m’inquiètent à tord